Site icon Padel Passion

Écrasement total à Rotterdam : le plan secret de Tapia-Coello et Triay-Brea pour régner sur le padel dévoilé !

Le Rotterdam P1 : un laboratoire de la suprématie en Premier Padel

Le Premier Padel Rotterdam P1, disputé à l’Ahoy Rotterdam, s’affirme cette saison comme un rendez-vous incontournable du circuit P1. Sur une surface rapide et un public hollandais passionné, les têtes d’affiche ont confirmé leur domination : Agustín Tapia et Arturo Coello du côté masculin, Delfi Brea et Gemma Triay chez les femmes. Ces performances illustrent non seulement un travail tactique millimétré, mais aussi une préparation physique et mentale à toute épreuve.

Finale masculine : comment Tapia-Coello ont pris le dessus

Opposés à Alejandro Galán et Federico Chingotto, Tapia et Coello ont déroulé deux sets solides (6-3, 7-6(4)) en moins d’1h30. L’analyse chiffrée révèle leur supériorité :

Techniquement, leur supériorité s’est appuyée sur :

Le tie-break du deuxième set a été le moment-clé : malgré une pause de concentration de Galán-Chingotto à 4-4, Tapia-Coello ont serré le jeu avec deux coups droits croisés purs et un lob parfaitement dosé, concluant à 7-6(4).

Finale féminine : Triay-Brea, la science du timing et du mental

Chez les femmes, Delfi Brea et Gemma Triay ont affronté Ari Sánchez et Paula Josemaría dans un duel de près de 2h40, terminé sur le score de 6-2, 3-6, 6-4. Les chiffres clés :

Leur force réside dans :

Le dernier jeu, à 4-4, a mis en évidence leur sang-froid : un service-volée précis suivi d’un smash en bout de piste pour breaker et offrir le titre.

Les enseignements techniques à retenir

Ces deux finales offrent des pistes de travail pour tout joueur aspirant à progresser :

Vers une hégémonie confirmée

Tapia-Coello et Triay-Brea confirment à Rotterdam leur statut de duos dominants sur la scène Premier Padel. Avec respectivement dix et neuf titres cette saison, ils se détachent nettement de la concurrence. Leur secret : une préparation scientifique, une analyse pointue des adversaires et un niveau d’exécution technique rarement égalé. À l’aube des prochaines étapes (Cascais, Barcelone, Doha), la question n’est plus de savoir qui pourra les stopper, mais comment les rejoindre au sommet.

Quitter la version mobile